Rando et bivouac au Pic de Bacanère (2165 m ), 2-3 juin 2006

                                                                   

                         

Départ du village d'Artigue (1224 m). On notera au début du chemin l'avertissement sur l'ours slovène laché il y a peu dans le coin.

Pour atteindre Artigue, prendre un peu au nord de Bagnères-de-Luchon la direction de Juzet-de-Luchon, puis Sode, et en suivant le D48 on arrive à Artigue. Garer la voiture au parking à l'entrée du village.

On suit le GR10 environ 1h30 pour atteindre la cabane de Saun ères (1660 m) ; belle vue sur la vallée. Cabane propre, eau 400 m à l'est.
Continuer sur le GR10 en remontant le Serrat de Créspés, jusqu'au Pan de Montmajou. Cabane de Peyrehitte.
Il y a de l'eau (ferrugineuse) 500 m au nord, sur le GR10. On peut suivre le GR10, ou prendre le sentier qui part du Plan de Montmajou en traversée, poru rejoindre le Col de Taons de Bacanère (restes d'un ancien téléphérique).
Le sentier suit la crête, fort large, et les bornes frontalières. A la borne 399, il ne reste plus que 100 mètres à monter en douceur.
Le sommet assez plat offre une vue large sur les vallées et la chaîne, avec l'Aneto plein sud.
Compter environ 4 heures de la voiture au sommet, sans les pauses.

Pour le retour, si l'on a le temps, continuer le GR10 en suivant plus ou moins la crête en passant par le Pic de la Hage (2165 m), jusqu'au col d'Esclot d'Aou.
Un petit saut au Pic de Bassioues, où des panneaux solaires alimentent un ré-émétteur des Secours en montagne, et on redescdend par les sentes sur Sarrouégère et la Cabane de Salode (source).
Le retour se fair par un sentier herbeus au début, balisé en jaune et portant le numéro 12.
Attention, 700 m après le cabane, il faut franchir le ruisseau.
Le sentier est pratiquement tout le temsp en sous-bois. Il chemine en balcon ou en montagne russes.
Un ou deux passages un peu délicat, notamment à la remontée du ravin au sud-ouest de la crête du Mail de l'Aigle : passage où il faut être prudent ; il n'est pas long ni très difficile, mais il peut être dangereux, notamment si le sol est humide.
La suite est sans problème, et l'on retrouve le chemin par lequel on est monté.

Compter 4 à 5 heures pour ce trajet de retour, sans les pauses.